« Cette note qui commence au fond de ma gorge », musique et alexandrins

Sandrine GAYET

Cet article fait partie du dossier: Biennale Odyssées en Yvelines : du 23 janvier au 23 mars 2024

Fabrice Melquiot, auteur et comédien, s’inspire de la vie du musicien afghan Esmatullah Alizada. Une pièce musicale de 45 minutes sur l’amour contrarié écrite en alexandrins pour un public dès 9 ans.

Abdelwaheb Sefsaf, directeur du Théâtre de Sartrouville et des Yvelines-CDN et un joueur de dambura (le luth traditionnel afghan). Photo S.Gayet/CD78

Aref n’aime plus Bahia, il vient de le lui dire. En rejetant Bahia, Aref rejette tout. Pour autant, il ne voudrait pas rentrer en Afghanistan. Ce qu’il veut, c’est faire de la musique avec ses amis, éparpillés aux quatre coins de l’Europe…
Fabrice Melquiot s’inspire ici de la vie du musicien afghan Esmatullah Alizada, qui interprète le rôle d’Aref et signe la musique du spectacle où dialoguent des instruments originaux : dambura (le luth traditionnel), harmonium et tablas. Un face à face sous tension, écrit intégralement en alexandrins !

Une pièce au format « hors les murs »

Fabrice Melquiot a été en résidence au Théâtre de Sartrouville et des Yvelines-CDN, au secteur d’action sociale de Chatou et au collège Darius-Malhaud de Sartrouville.
Elle va notamment être jouée en primaire et collège, à la maison des associations de Chevreuse, au château de Maisons à Maisons-Laffitte, au secteur d’action sociale de Chatou, à la Maison du temps libre de Villiers-Saint-Frédéric et à la médiathèque de Vélizy-Villacoublay.

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